Paris, France, 26 janvier 2022, /African Media Agency/- In 2020, En 2020, les entreprises fintech africaines ont rapporté environ 4 milliards de dollars US. McKinsey prédit que ces entreprises gagneront huit fois plus en 2025, soit environ plus de 30 milliards de dollars. Cette croissance exponentielle est une bonne nouvelle pour l’Afrique qui rattrape son retard en matière d’inclusion financière, mais il reste un problème de taille : les gouvernement n’ont pas d’outils technologiques pour superviser les paiements électroniques et maitriser les recettes fiscales qui devraient en découler.
C’est là que N-Soft intervient, en équipant les gouvernements avec des outils de gouvernance de pointe apportant une visibilité totale sur les flux financiers brassés par les transactions électroniques. Les rapports générés par les solutions N-Soft se lisent facilement et communiquent toutes les données nécessaires aux autorités administratives pour les aider à identifier puis à collecter précisément les taxes et impôts qui leurs sont dus. Ces dernières améliorent ainsi leurs recettes sans augmenter la pression fiscale déjà pesante sur leur population.
Environ 35 % seulement des Africains ont un compte bancaire. C’est la raison pour laquelle le marché africain du paiement électronique croît de 20 % par an. Malgré cette hausse, les performances fiscales de ce secteur restent en dessous des attentes. C’est une perte abyssale pour le budget national.
N-Soft travaille avec un certain nombre de pays africains dans le but de révolutionner les pratiques de mobilisation de ressources domestiques en apportant de la transparence via ses solutions technologiques. Le Mali en est un exemple. N-Soft y a mis en œuvre sa solution en 2019. Depuis lors, le gouvernement du Mali a pu superviser les transactions Mobile Money de deux des principaux fournisseurs du pays – pour un volume global de transactions de 33 milliards de dollars, toutes opérées depuis le Mali. N-Soft a également mis en place sa solution de gouvernance au Somaliland en septembre 2022, qui offre au pays une nouvelle visibilité sur le secteur des télécommunications du pays.
Les solutions N-Soft couvrent également les transactions internationales. N-Soft garantit qu’aucune des données collectées par ses solutions ne quitte le pays où elles sont déployées. Par ailleurs, les solutions N-Soft peuvent être opérationnelles en 13 semaines seulement. Le transfert de compétences se fait sans effort et en quelques mois, les gouvernements sont formés pour les opérer de manière autonome s’ils le souhaitent.
Chaque nation mérite de croître et de s’améliorer – mais la mise en place de projets nationaux comme la construction d’infrastructures ou l’amélioration du système éducatif nécessite une amélioration des performances fiscales pour dégager les financements nécessaires. L’OCDE le reconnaît et travaille actuellement avec plusieurs Etats africains et d’autres organisations pour renforcer les institutions démocratiques par la fiscalité, collecter des revenus suffisants au développement d’ infrastructures autonomes et éviter la dépendance aux aides financières ou à une seule ressource.
La technologie N-Soft aide à faire de ces idéaux une réalité.
N-Soft propose des solutions qui se concentrent sur la mobilisation de revenus déjà existants, sans impliquer d’augmentation d’impôts. Le joug fiscal est ainsi plus équilibré, puisque les entreprises sont imposées à la hauteur de leurs revenus et activités.
Un récent sondage administré par N-Soft montre que le « manque de transparence » est le principal obstacle à la mobilisation des recettes par les autorités fiscales.
73 % des répondants à l’enquête s’accordent sur les difficultés liées au manque de visibilité sur les secteurs de l’économie, en particulier en l’absence d’outils numériques pour « suivre l’argent électronique » qui circule plus facilement sur tout le continent.
2025 approche, les gouvernements africains devraient voir leurs économies proliférer en raison du succès croissant de leurs entreprises Fintech.
Dans ce contexte, les pays africains doivent également s’efforcer d’améliorer leurs infrastructures sociales et physiques, de promouvoir la croissance économique en créant un environnement fiscal fiable et prévisible, et de s’assurer que les avantages et les développements des secteurs privés de la nation se reflètent dans les espaces publics.
Cela commence par l’obtention d’une vision claire des types de transactions qui ont lieu au sein des économies africaines. Savoir c’est pouvoir et N-Soft fournit toutes les données nécessaires à la mise en place d’un environnement économique stable, solide et pérenne.