Il arrive un moment où la plume, au lieu d’éclairer, obscurcit. Lorsqu’elle ne sert plus la vérité mais devient un instrument de chantage ou de diffamation, elle perd toute noblesse et trahit la mission première du journalisme. Dans notre société en quête de repères et de justice, les journalistes d’investigation ont un rôle sacré informer objectivement, sur la base de preuves tangibles, et non de suppositions ou d’intentions biaisées.
Le cas du Ministre Directeur de Cabinet de la Primature, Mohamed Lamine Sy Savané, en est une illustration flagrante. Victime d’allégations sans fondement portées par un soi-disant journaliste d’investigation, il subit un acharnement médiatique qui ne repose sur aucun fait vérifié. Ces accusations infondées ne relèvent ni du journalisme, ni de la vérité, elles ne sont que le reflet d’une volonté de nuire, d’un combat personnel déguisé en mission d’information.
Mohamed Lamine Sy Savané, reconnu pour sa rigueur et son engagement, incarne aujourd’hui la coordination efficace de l’action gouvernementale. Sa loyauté envers le chef de l’État, son sens du service public, et son souci constant de cohésion au sein de l’administration font de lui une pièce maîtresse dans l’appareil de l’État. L’homme est respecté non pas pour des discours, mais pour ses résultats visibles, son efficacité, sa discrétion, et son patriotisme assumé.
Loin d’être affaibli par les critiques sans fondement, il en ressort grandi. Car dans une société où le faux bruit tente parfois de couvrir la voix de l’action, seuls les faits résistent au temps. Et les faits, dans le cas de M. Sy Savané, parlent pour lui.
Cette tribune n’est pas un bouclier contre la critique, mais un appel à la responsabilité. Critiquer, oui, mais avec des preuves. Éclairer, oui, mais sans agenda caché. Défendre l’honneur de ceux qui construisent, c’est aussi défendre l’intégrité de la République.
Par Billy KEITA, citoyen en méditation mais passif.