« Recensement en Guinée entre rigueur administrative et responsabilité citoyenne » comme disait l’autre.
Le quatrième Recensement Général de la Population et de l’Habitation (RGPH-4) en Guinée, conduit par le Ministère du Plan et de la Coopération Internationale à travers l’Institut National de la Statistique (INS), représente une avancée majeure dans la modernisation de l’administration publique.
Il n’y a ni grogne sociale, ni non-versement généralisé de primes. Ce qu’il y a, c’est un petit groupe d’agents recenseurs indélicats, qui, après avoir perçu des montants indûment élevés, refusent de les rembourser. Une attitude inacceptable, indigne de la République.
Selon une source proche du ministère du Plan et de la Coopération internationale et de l’Institut National de la Statistique (INS), chaque agent devait percevoir *280 000 GNF comme prime de transport* après la formation. Une *erreur comptable* a conduit au *versement de 2 000 000 GNF à 1133 agents*. Orange Money a déjà récupéré *233 montants*, et *35 autres agents ont restitué volontairement*, après sensibilisation. Le reste est en cours de régularisation.
Ceux qui refusent de rembourser s’exposent à des *retenues sur salaires* ou *poursuites pénales*, car on ne peut toucher de l’argent public sans rendre le service dû.
Le Ministre Ismaël Nabé, sous la vision éclairée de Son Excellence le Président Mamadi Doumbouya, veille à une *gestion rigoureuse, transparente et équitable*. C’est ce qui justifie les conditions exceptionnelles dont bénéficient les agents recenseurs:
– *Prime de transport*
– *Assurance maladie*
– *Prime Internet*
– *Accompagnement technique*
Comparativement à d’autres pays comme le *Sénégal, la Côte d’Ivoire ou le Togo*, *les agents guinéens sont mieux rémunérés et mieux encadrés*. Cela est dû au travail acharné du *Directeur Général Dr Makan Doumbouya* et des partenaires techniques.
Les manœuvres diffamatoires de *quelques dizaines d’agents sur 23 400* ne doivent pas ternir une œuvre d’envergure nationale. Ces individus perdront la *confiance de leurs collègues*, les *avantages liés à leur fonction*, et risquent *des poursuites judiciaires*.
La Guinée donne aujourd’hui l’exemple d’un recensement moderne, structuré et respecté, fruit de la rigueur du gouvernement et de ses institutions. *Tenter de saboter cet effort collectif, c’est s’attaquer à l’intérêt supérieur de la Nation.*
Ce recensement est une étape cruciale pour la planification du développement. Il mérite respect, fierté et vigilance. *L’État agira avec fermeté* pour défendre la vérité, l’intégrité et l’intérêt supérieur du peuple guinéen.
*Par Billy KEITA,citoyen en méditation, mais passif.*