Qui en veut aux sociétés partenaires de la CBG dont la SOTRAC PLUS
Récemment, la Compagnie des Bauxites de Guinée et plusieurs de ses partenaires ont fait l’objet de chantage sur les réseaux sociaux pour dit-on dénigré la vision amorcée par la compagnie à travers le projet multi-user. Beaucoup de changements ont été observé sur le terrain tant dans le rendement au service à travers la multiplication de la formation des cadres mais aussi la régulation des opérations afin d’atteindre l’ambition du groupe des investisseurs de la compagnie.
L’année 2021 a enregistré des réformes courageuses en matière de sécurité sur les sites d’exploitation, des lieux de services publics et des équipements allant de Kamsar à Sangarédi en passant par Kolaboui, Boké et Tanènè ; faisant des heureux et des mécontents notamment certains anciens collaborateurs.
A parcourir le contenu du document émanant d’un collectif des travailleurs de la CBG sans signature, ni référence de la provenance pour savoir exactement son bien-fondé. Est-ce le document est l’expression de la volonté des travailleurs de la compagnie de Bauxite de Guinée ?
Faisons ensemble, une analyse du contenu de ladite lettre et les publications récentes d’un groupe d’individus non identifiés et quelques personnes à la recherche du quotidien dans la cité de Kamsar pour comprendre l’objectif de la parution du document.
Le point concernant la société SOTRAC PLUS où ils dénoncent un contrat de « gré à gré », qui serait établi entre la CBG et celle-ci, mais aussi de manque d’équipements et l’insuffisance des moyens pour assurer la sécurité des rentrées et sorties des trains de Kamsar.
Justement concernant l’ensemble des points de dénonciations, il est à rappeler que la société SOTRAC PLUS est le fruit du projet de l’entreprenariat pour la mise en œuvre de la Politique de Contenu Local initiée en 2011 par le gouvernement guinéen et matérialisée par l’ancien Directeur Général de la CBG Kémoko Touré à travers la création et l’accompagnement des TPE.
A partir de 2015, le contrat cadre a été signé entre la CBG et la SOTRAC qui prendra la dénomination de « SOTRAC PLUS » en 2017 tout en diversifiant ses domaines d’activités dont la sécurité ferroviaire, la surveillance et l’intérim.
Donc dire qu’il n’y a pas de contrat est sans fondement et relève de la mauvaise foi ;
Parlant d’équipements, aujourd’hui en termes de matériels logistiques, SOTRAC PLUS présente une image qui démontre son engagement au respect des normes en matières de santé, sécurité et environnement tant au niveau de ses employés que vers les communautés riveraines.
Malgré la pandémie de COVID -19 et l’augmentation des charges, la SOTRAC PLUS a toujours honoré ses engagements vis-à-vis de ses partenaires et employés.
Ainsi, pour mieux cerner la velléité des acteurs dans l’ombre pour faire une campagne de dénigrement contre SOTRAC PLUS voici un passage du document du collectif qui démontre la jalousie et la haine : « Trouver une seconde entreprise de surveillance sur la voie ferrée pour une équité de concurrence dans l’amélioration du contenu de la prestation » hélas ;
« Mettre fin à cette patrouille éclaireuse de Pick up avec sirène qui gêne la circulation ». Pauvre de nous et les conséquences sur le terrain c’est quoi après?
Oui à la concurrence !
Oui au respect du Contenu Local !
Mais jamais une campagne de dénigrement contre une société se trouvant dans les règles de l’art.