La scène électorale américaine connaît une nouvelle dynamique avec le retrait de Joe Biden de la course présidentielle et la montée en puissance de Kamala Harris. La compétition entre les deux principaux candidats s’intensifie, mais certaines réalités sur le terrain permettent d’anticiper qui pourrait être le prochain locataire de la Maison Blanche. Il est possible qu’une femme, pour la première fois, prenne les rênes de la première puissance mondiale.
La victoire de Donald Trump n’est pas acquise malgré le soutien médiatique et l’analyse favorable de nombreux experts. Trump, ayant frôlé la mort, pourrait bénéficier d’un regain de sympathie, mais son avenir politique n’est pas garanti par les puissants lobbies américains, notamment le lobby juif et le Pentagone. Peu de gens réalisent que le choix du président américain est souvent le fruit de décennies de préparation orchestrée par un cercle restreint. Certains présidents sont sélectionnés et préparés bien en avance, leur parcours politique étant soigneusement managé pour aboutir à leur ascension.
Kamala Harris, souvent désignée comme la « première femme présidente de l’histoire américaine », pourrait être élue pour achever le mandat démocrate, soutenir Israël, et résoudre le conflit ukrainien. Préparée pour succéder à Biden en cas d’incapacité, elle bénéficie d’un soutien stratégique.
Le Pentagone, quartier général du ministère de la Défense, joue un rôle crucial dans ces préparations. Depuis 1943, ce bâtiment, le plus grand du monde, abrite une multitude d’experts qui façonnent la politique américaine intérieure et extérieure. L’élection présidentielle américaine ne relève donc pas du hasard mais d’une planification stratégique rigoureuse.
Trump n’est pas unique dans son expérience d’attentats, rejoignant les rangs de présidents comme Franklin Delano Roosevelt, Ronald Reagan, et Gerald Ford. Cependant, son âge, tout comme celui de Biden, est un facteur de désapprobation pour une grande partie des électeurs.
La communauté juive, forte de plus de six millions de personnes et d’une influence géostratégique majeure, joue également un rôle décisif. Ce groupe a poussé les États-Unis à investir massivement en Israël et soutiendra probablement Kamala Harris, perçue comme la continuité de Biden. Les groupes chrétien traditionalistes, alliés stratégiques d’Israël, renforceront ce soutien.
L’implantation géopolitique d’Israël, crucial pour la sécurité nationale des États-Unis, rend Harris, dauphine de Biden, un choix stratégique pour défendre les intérêts américains dans cette région instable. Bien que la gauche démocrate, soutenant la cause palestinienne, puisse poser des défis, Harris semble avoir l’avantage.
Enfin, l’histoire montre que des présidents d’origine juive ont déjà existé aux États-Unis, renforçant la probabilité d’un soutien significatif pour Harris. Toutes ces dynamiques, de la politique intérieure à l’influence internationale, pourraient bien favoriser Kamala Harris dans sa course vers la présidence.
Oumar Lalmas Diabaté
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