Kamsar est une commune rurale, située à quelques 50km du Chef lieu de la préfecture de Boké.
Son atout majeur est que c’est le fait que’elle soit considérée comme la cité portuaire de kakandé, Zone économique par aisance et le principal pôle d’attraction des investisseurs miniers.
Kamsar, est aussi, une ville cosmopolite et mosaïque de la préfecture.
Hélas ! Ces valeurs économiques sont aujourd’hui au centre des polémiques autour de la gestion opaque des élus locaux.
Avec les remaniements intervenus autour des secrétaires généraux des communes, la situation des 1249 certificats d’attribution et reçus provisoires alimente la chronique dans la Cité.
Parlant du même dossier, l’actuel maire qui occupait le poste de premier vice après les élections communales et communautaires, s’est miraculeusement retrouvé a la tête de la commune après la mort du premier magistrat de la collectivité.
Depuis l’installation du Maire Alsény Chérif Kibola Camara, devrait avoir pour priorités principales, l’unité d’action des fils et filles de kamsar, le reprofilage des voiries de la banlieue et autres activités non négligeables.
Est ce possible de faire partir un maire par voix de message interposé, oubliant les autorités préfectorales, régionales et même la justice pour écrire à un kountigui? S’interrogent des observateurs.
Certes, le kountigui est une autorité morale mais le situation du marché de Sahara commence à montrer le vrai visage du combat des acteurs tapis dans l’ombre avec un agenda caché du grand public.
Or, s’il est vrai qu’un maire est un élu du peuple, demander la démission de celui-ci, nécessité une démarche et une manière de faire.
Étant être victime d’attaques, d’injures de la part de ses concitoyens, le Maire de Kamsar devrait avoir suffisamment de temps pour achever.
Nous bouclons cet en précisant que la bonne Gouvernance n’a rien de commun avec des règlements de comptes.